Sky, sky, sky...

OK

"L'obscurité l'empêchait de voir où il allait. Pourtant, la lumière du soleil l'aveugla pendant un court instant. Une clairière, droit devant ! Il se précipita vers la source de lumière. Pesant enfin être sauvé, il accéléra.
Mais cependant, il se trompait, car, arrivé dans l'herbe haute, il ne vit qu'un rocher, et la forêt environnante, sombre et aussi peu accueillante que les Enfers.
Lucas se prit la tête dans les mains et s'assit sur le grand roc. Il resterait bloqué dans cette sordide jungle. Et il ne reverrais plus jamais Prune.
Prune, c'était son amie. Ils étaient venus se balader ici, tout les deux, mais avaient été séparé par un ours. Lucas était parti à droite, et Prune surement à gauche. A présent, ils allaient mourir ici, abandonné et loin du monde. Les pompiers mettraient des mois, voir des années à les retrouver.
Pourtant, il ne perdit pas espoir et il continua sa longue et périlleuse marche.
Cette forêt n'en finissait pas, c'était invraisemblable. Comment pouvait-il espérer retrouver son amie, si encore elle était bien dans ces bois ?
Quand la nuit tomba et qu'une magnifique pleine lune commença a monter dans le ciel, côtoyant les étoiles, Lucas décida de revenir dans la clairière "magique", en quelque sorte, car l'étrange lumière continuait de briller, même si nous étions en pleine nuit !
Il entreprit de s'allonger sur le grand rocher, aussi dur soit t'il et de s'endormir.
Il s'assit à nouveau sur le rocher, totalement désespéré. Tout était perdu. Non. C'était faux. Un peu plus loin devant lui, les buissons frémirent. Quelqu'un était ici ! "

Voilà ! Sa te va ?

Bien sûr que ça me va (:

Petites questions :

Lieu :
Epoque (date) :
Personnages :
Leur âge :
Intrigue principale :
Intrigue secondaire :

Comparaisons que tu as pu faire :

Que penses-tu globalement de ton texte, en dépassant les traditionnels "j'aime" ou "j'aime pas" ?

Pourquoi le nom de Lucas et de Prune ?

Comment as-tu trouvé ce thème ?


Même si certaines questions te paraissent inutiles, ne t'inquiète pas (:
La dernière question n'est pas une question piège hein.

Petites questions :

Lieu : ba, dans une forêt ^^"
Epoque (date) : Sa se passe à notre époque, c'est à dire 2012
Personnages : Lucas, le mec, et Prune, la fille.
Leur âge : 16 pour la fille, 17 pour le garçon. Je fais quasiment que des histoire avec des personnages plutôt grand.
Intrigue principale : Si il retrouvera son amie avant de mourir.
Intrigue secondaire : Si il

Comparaisons que tu as pu faire : Euh ... comparer à quoi ?

Que penses-tu globalement de ton texte, en dépassant les traditionnels "j'aime" ou "j'aime pas" ?
Je trouve qu'il n'y a pas assez d'action dans ce texte, il est juste perdu dans une forêt, et il essaye de sortir. J'aurais du le faire poursuivre par quelque chose. Je trouve aussi que j'ai fait trop de répétitions, c'est un peu dommage. Mais j'aime bien l'idée de la clairière " magique " que j'ai eu

Pourquoi le nom de Lucas et de Prune ?
Lucas parce que j'étais en train de regarder un clip vidéo où le garçon qui y jouer ressemblait au Lucas de ma classe. Donc je pensais à lui en écrivant le texte. Et Prune parce que je voulais que mon personnage est un peu un nom de princesse. J'ai pensé à Rose, Violette, et ensuite je me suis souvenue que j'avais un amie, en colo, qui s'appelait Prune. Donc voilà ...

Comment as-tu trouvé ce thème ? Pas mal. J'aime vraiment bien l'idée de a clairière magique, mais il ne comporte peut être pas assez d'action

Je ne t'ai pas oublié, je m'occupe de toi bientôt. J'éditerai mon message alors pense à regarder (:

En fait, j'édites pas mon message, comme ça tu vois que j'ai répondu.


Pour les comparaisons, c'est ça : la neige recouvrait le sol comme un manteau blanc.

Maintenant, on va passer à quelque chose de plus corsé.

Fais moi un texte avec ces contraintes :

Lieu : Grotte
Epoque (date) : Moyen-Age
Style : Médiéval fantastique
Personnages : Sébastian & Ariale
Leur âge : 23 ans les deux
Mets-moi au moins deux comparaisons.
Inclus moi cette phrase dans le texte : " Hé ! Mais tu es folle ou quoi ! Qu'est-ce que tu fabriques à la fin !"

Et voilà (:

Un orage éclata dans le ciel. C'était la tempête, les éléments se déchaînaient : le vent soufflait à un vitesse hallucinante ; la pluie provoquer des crues dans les ruisseau, inondant la chaussée ; les grêlons tombaient comme de grosses pierre, fracassant la tête de qui conque passant par là ; la foudre frappait des arbres, qui s'écroulait, barrant des routes.
Ce serait folie de passer ici par ce temps, mais pourtant, un cheval galopait, bravant la tempête. Deux personnes étaient sur le cheval, dont une évanouie.
Il y avait un garçon est une fille. Le garçon portait un casque et une cotte de maille, une magnifique épée de fer noir accroché à son coté. La fille, quand à elle, gisait à l'arrière de la monture, évanouie. Elle portait un simple robe de lin blanche, sans rien d'autre. Du sang vermeil coulait sur son beau visage. C'était complètement insensé de sortir sans casque ni bottes par ce temps.
Enfin, le cheval s'arrêta dans une grotte, protégée des intempéries.

A l’intérieur de la cavité, il faisait sombre et froid. Des chauves-souris fixaient les deux inconnus avec leurs petits yeux rouges.
Le garçon, qui se révélé être un jeune homme, extirpa la demoiselle de sa monture et la posa délicatement par terre. Celle ci avait dut recevoir un gros grêlons sur sa tête, car un abondant filet de sang dégoulinait de son front, là où était visible un gros trou, peut profond, certes, mais douloureux.
Elle était trempée et ses pieds en sang.
Le jeune homme pria un moment, les genoux posait sur la pierre froide et ses mains regroupé. Puis enfin, il posa un délicat baiser sur le front de la belle et s'endormit d'un sommeil agité.

Le lendemain matin, il pleuvait des cordes, et la dame était trop faible pour repartir. Elle s'était réveillée, mais elle ne pouvait faire de trop gros effort physique. Ils étaient donc bloqué dans la grotte. Sébastian, le garçon, dit d'une voie mal assuré :

" Ariale ... Te rends tu juste comptes du danger que nous courons ?

Il avait retiré son casque et son armure, ce qui révélait un beau visage au cheveux noir corbeau et un corps musclé. Il était visiblement inquiet, et ... apeurée.
Ariale, la demoiselle, lui répondit, obstinée :

- Bien sur que je le sais ! Dès l'instant ou j'ai quitté ma maison, j'ai sut que j'étais en danger de mort !!! Que crois tu !

Apparemment, elle était têtue comme une mule. Sébastian soupira, résigner. Il leva les yeux vers sa compagne et lui demanda, tout simplement :

- Mais alors, que veux tu qu'on fasse, ici ? On finira par nous retrouver, et, sérieusement, je me vois mal passer le restant de ma vie dans une vielle grotte désaffectée !

- Si tu ne veux pas rester ici, tu n'as qu'a partir, je ne t'y empêche pas. Et, j'ai un plan ...
Et sur ceux elle se mit à courir dehors et a hurlé le nom de quelqu'un. Sa robe blanche et sale, trempée à cause de la pluie, lui collait à la peau. Sébastian ne put s'empêcher d'admirer sa beauté. Puis, se reprenant, il lui cria :

Hé ! Mais tu es folle ou quoi ! Qu'est-ce que tu fabriques à la fin !

Mais il resta mué de stupeur de se qu'il avait devant les yeux. Un large tunnel, entouré de chèvre-feuille et de lierre s'ouvrait devant lui. Un vieille homme en sortit et invita Ariale à le suivre. Elle se retourna vers le jeune homme et lui dit :

- Alors, tu viens ? "

[ Désolé du retard et du manque de sens à mon histoire ><" ]

Manque de sens à ton histoire ? Je ne trouve pas particulièrement. Mais c'est vrai qu'est peut-être trop... condensé ?

Il n'empêche que c'est très mystérieux tout ça. Franchement, où t'es parti cherché tout ça ?? Enfin bref.

J'ai remarqué que tu m'étais des 't' un peu partout, surtout là où il n'en faut pas. Et que tu en mettais pas là où il fallait.

quand à elle -> C'est 'quant' avec un 't' car ce n'est pas une notion de temps. Tu écris quant avec un 't' dès qu'il est suivi de 'à', 'au', et 'aux'.

avait dut -> C'est 'dû' avec un accent circonflexe, car sinon tu écris le verbe devoir conjugué à la 3e p. du singulier, passé simple.

Sébastian soupira, résigner -> C'est 'résigné' avec un 'é' car c'est Sébastian qui était résigné.

j'ai sut -> C'est 'su' car sinon tu écris le verbe savoir conjugué à la 3e p. du singulier, passé simple.

Il y a d'autres fautes, essaye de les trouver par toi-même.

A présent, dis-moi quels sont les différents rôles importants que tu peux donner à ce vieil homme ?

J'imaginais plus un magicien, à qui Ariale avait rendu un service il y a longtemps. Et, du coups, il avait un dette envers elle. Enfin, ça, c'est une idée, car j'ai coupé mon histoire pour pas être HS, et sinon sa ferait trop long ^^
Et désolé pour les fautes, je suis en train d'en cherchais d'autres :$

Yoki (:

Maintenant, je vais faire comme avec Jais : jusqu'où va-t-on imagination ?

Écris-moi un texte avec cette phrase : Il s’approcha de la poubelle

Je te montrerai le texte que j'ai fait avec cette même phrase.

Enjoy ♥

[ A ne pas lire avant de s'endormir ]

Quelque chose bougea dans l’obscurité. Il tendit l'oreille, inquiet. En même tant, il y a de quoi. Il était dans un cimetière, seul, dans les environs de minuit, et à ses pieds reposait la tombe de sa soeur.
Une chouette poussa un cri lointain et s'envola. Un faible grattement retentit. Il s’amplifia, jusqu'à devenir insupportable.
A la grande surprise du jeune garçon, le bruit provenait d'une grosse caisse métallique avec plein de détritus dedans. Il s’approcha de la poubelle. Rien. Le grattement s'était arrêté.
De plus en plus apeuré, il commença à faire demi-tour. Quel endroit sinistre, pensa t'il.
Mais une petite voix sortit de la poubelle :

" Kev', sauve moi "

Il jeta un coup d'oeil dans la poubelle, tétanisé par la peur. Ce qu'il vit le glaça d'effroi.
Une poupée, genre celle qu'on trouve dans les magasin, était assise et le regardait avec son seul orbite, vide et laiteux.
Il lui manquait un oeil, comme la soeur de Kevin.
Un hurlement déchira le silence du cimetière. Un hurlement de souffrance.

Nyah j'aime <3

Par contre, c'est court.

Enfin, voilà le mien :

La nuit tombait sur les rues de la ville. Les lampadaires s’allumaient peu à peu, éclairant les rares passants à cette heure-ci. Tous rentraient chez eux pour retrouver la chaleur de leur foyer ainsi que toute leur petite famille tandis que d’autres se hâtaient pour ne pas manquez leur rendez-vous préféré avec leur télévision. Louper ne serait-ce qu’un seul épisode de la série du moment serait dramatique. Pourtant, sur une avenue marchait un homme d’un pas rapide, guettant le moindre mouvement autour de lui. Il s’arrêta à un croisement et s’assura que personne ne l’épiait. Il aurait pu se croire paranoïaque si ses raisons n’étaient pas fondées. Malheureusement, elles l'étaient. Il s’approcha de la poubelle et remarqua une enveloppe marron posée dessus. Sans hésiter, il la saisit et s’éloigna un peu de la corbeille. Toutes les indications qu’il attendait étaient dedans. Une chance qu’il soit arrivé avant le ramassage des ordures. Il vérifia une nouvelle fois que personne ne l’observait et ouvrit l’enveloppe. A l’intérieur, un petit papier plié en deux. Cela faisait peu pour ce qu’il devait recevoir. Intrigué, il le déplia et lut le message. Dessus, on pouvait aisément lire : « Sois à l’adresse donné dans une heure. ». Le lieu était griffonné dessous. Il retourna le mot par habitude et vit une nouvelle phrase : « Si tu ne viens pas tu sais ce qui t’attends.». Il leva la tête, presque certain qu’un guetteur observait le moindre fait et geste de sa part et finit par pester. Putain, il s’était fait baisé comme un débutant ! Comment avait-il pu croire un seul instant que ce gars-là tiendrait parole. Ça avait été une belle connerie de sa part tient ! Essayant de se ressaisir, il prit la ruelle à droite. Au fond, peut-être n’était-ce qu’un simple acte de prudence. Une précaution supplémentaire, au cas où. Il aurait suffi qu’un passant trouve le dossier dans la poubelle pour que toute l’opération soit fichue en l’air, ce qui aurait été inadmissible. Maintenant, il lui fallait juste aller vérifier toutes ces hypothèses à l’adresse donnée. Il remit le papier dans l’enveloppe et la rangea dans son blouson. Puis il continua son chemin ; il devait se dépêcher pour arriver au lieu du rendez-vous.

Il posa ses jumelles sur le tabouret. L’attente avait payé en fin de compte. Le toit de l’immeuble offrait une belle vue sur la rue, il avait bien choisi son emplacement. De plus, sa cible avait mordu à l’hameçon, il allait tout droit vers cette vieille maison qui servait de lieu de rendez-vous. Sans attendre un instant de plus, il attrapa son téléphone dans la poche arrière de son jean. Il entra un numéro, le porta à son oreille et entendit la sonnerie. Quelques secondes s’écoulèrent avant que quelqu’un ne décroche à l’autre bout de la ligne.

« Chef.

- Alors, répondit une voix froide.

- Il l’a trouvée et est parti en direction de la vieille maison. Il devrait y être à l’heure du rendez-vous, déclara le guetteur. Mais cela serait bête qu’il tombe dans le panneau ! continua-t-il avec un rire ironique.

- Bien. Suis-le et appelle-moi dès qu’il y a un problème. »

La liaison coupa aussitôt. L’homme rangea son téléphone à sa place et reprit ses jumelles. La cible était hors de vue, il devait quitter son poste d’observation immédiatement sinon ses chances de la retrouver seraient bien minces. Il se leva, rassembla ses affaires et d’un pas décidé quitta le toit de l’immeuble.

A présent, relis ton texte et le mien. Analyses-les et dis moi ce que tu penses de ton texte et ensuite du mien. Ensuite, compares nos deux textes avec ce que j'ai fait, ce que je n'ai pas fait par rapport à toi. Après, essayes de déterminer une époque à chacun de nos textes. Je m'explique : par exemple, quand tu lis mon texte, tu as plus l'impression que ça se passe à quelle époque ? Et après, dis-moi dans lequel, selon toi, il y aurait plus de mystère, suspense et lequel des deux on imagine plus une suite - bien que dans les deux cas une suite est envisageable - mais dis-moi sur lequel on a plus envie qu'il y est une suite, tellement qu'on est rentré dans l'histoire.


Joli copier/coller des consignes /poteau/

- Alors, mon texte : Je l'aime bien, étant donné qui est bien morbide et qu'il fait peur. Il est inspiré d'une histoire d'horreur, donc le résultat n'est pas ... joyeux. J'ai fait tous ce qui est en mon pouvoir pour essayer de faire un texte sans faute d'orthographe. Ensuite, tu as raison, il est un peu court, j'aurais pus plus décrire le cimetière et l'état moral du garçon. Ensuite, dans le mien, je trouve qu'il n'y a pas beaucoup de vocabulaire, qu'on retrouve toujours, un peu, le même mots. Mais sinon je l'aime bien ♪

- Ton texte : Je l'aime bien aussi. Il est mystérieux, un peu "brumeux" (je sais pas si tu me comprends ><"). Mais on comprend plutôt bien. Il est moins morbide que le mieux, mais il n'est pas joyeux non plus. Ensuite j'aime bien comment c'est écrit ♫

Dans ton texte, il y a plusieurs personnages. Et on voit l'histoire sous plusieurs angles, dans la première partie, on est avec la victime (celle qui reçoit la lettre), celle qui est prise au piège. Et dans la deuxième partie, on est avec le "méchant", celui qui tant un piège pour un but ... malsain. Dans le mien, il n'y en a que 1, ou 2 si on compte le poupée. Donc on reste avec le garçon, kevin, le gentil. On ne va pas sous l'angle de de la poupée, qui est méchante.

Je dirais que nos deux textes se passe dans une époque récente. Je pense que le tien se passe dans une époque un peu plus récente.
J'imagine bien le tien dans les année 2000, car il y a quand même la télévision, les jeans, et les portables. Le mien vers 1990, car je ne donne pas trop de précision.

Et pour la suit, c'est plus sur ton texte que je la vois. En fait, je ne vois pas trop de suite à mon texte, j'adore finir sur des fins morbide. Dans le tien, le plan du "méchant", n'est pas encore achevé, on ne sait pas ce qui va se passer ... enfin, bref, si il y a une suite, je le verrais plutôt à ton texte.

Nyark je vois.
Mon texte se passe dans les années 2000 en effet, plus vers 2010-2012.

La personne que tu appelle "la victime" n'est pas toute blanche, la placer dans ce rôle serait une erreur. Il s'est juste fait arnaqué concernant ces mystérieuses informations, c'est tout. Il n'avait pas qu'à se mêler dans ces histoires-là !

Bref, voici mon avis :

- Mon texte a en effet pas mal de mystère. La première personne que l'on rencontre trouve une enveloppe qui lui ait destiné et qui lui donne un rendez-vous. Chose qui n'était pas prévue à l'origine. J'aime les imprévus /porte/ Il est obligé de s'y rendre pour obtenir les infos : mais quelles infos ? Sur quoi ? Ou sur qui ?
La deuxième personne rencontrée est un guetteur, je l'ai mentionné à un moment. Elle surveille la première personne, sur les ordres de quelqu'un d'autre. Personne qu'il appelle dès que l'autre a pris l'enveloppe et est parti en direction de la maison. Il le nomme même "Chef" donc on peut supposer que c'est lui qui est à l'origine de tout ça. On peut également penser qu'il s'agit du méchant.

- Dans ton texte, il n'y a qu'un seul point de vue comme tu l'as dit, celui de Kevin, la petite victime innocente. Je trouve que tu aurais dû rallonger. La fin, cependant, est bien. Laisser là le lecteur est sadique mais bon. Une suite peut être envisageable mais la façon dont ça se termine peut s'en passer. Tu t'es appliquée à ne pas faire de fautes, c'est super. Je n'en ai pas repérer de flagrantes, juste des tirets manquant (c'est : pensa-t-il & sauve-moi) et l'autre c'était une faute de temps : il y avait de quoi.


Pour les époques, je t'ai répondu plus haut pour mon texte. Pour le tien, les années 90 vont bien. J'aurai bien vu un peu plus vieux aussi : années 80, voire même 70.


- Dans mon texte, une suite est presque obligatoire. La façon dont ça se termine laisse en plan le lecteur, abandonner le texte là ne serait pas top. Dans le tien, j'ai déjà répondu plus haut.



A présent, essaie d'imaginer une suite à mon texte comme c'est celui à qui il en faut une. Ne rédige pas sous la forme d'un texte, donne-moi juste tes idées.


Et dis-moi aussi ce que tu voudrais faire après. S'il y a un point que tu veux voir en particulier, dis-le moi (:

Alors peut être que le chef détient un membre de la famille de celui qui a trouvait l'enveloppe, et qu'il veut quelque chose en échange. Une sorte d'otage, quoi ! Il veut peut un service qu'il ne peut pas effectuer, mais, l'autre, le trouveur d'enveloppe, ne peut pas l'effectuer, comme par exemple récupérer un collier sur la tombe de sa mère, où un truc glauque dans le genre.
Enfin, ce sont des idées, et je ne les trouvent pas très originales :/
Et ce que je veux faire ? Aucune idée, peut être encore des textes bien sinistre, si tu n'est pas lassée xD

Hum, intéressant ça. J'y avais pas pensé.

Alors un nouveau thème ? J'crois que j'ai une idée

Alors tu écriras ton récit à la 1er ou 3e personne du singulier, je te laisse le choix. Personnage homme ou femme, c'est toi qui choisis.

Tu as des tueurs à gage à tes trousses. Tu coures dans les rues de la ville pour essayer de leur échapper. Tu n'sais pas qui ils sont ou ceux qu'il veulent mais tu sais qu'il ne faut pas que tu te fasses rattraper. Mais comment vas-tu t'y prendre ? Surtout qu'à un croisement, tu tombes nez à nez fasse à un autre homme...

Enjoy

Je savais que cette manie d'écouter au porte me jouerait des tours. Si je n'avais pas entendu ses quelques mots, je serais au collège, en cours. Pas que j'aime bien les cours, non, mais je préfère être assis sur une chaise plutôt que de courir comme un taré un lundi matin dans une ville bondé avec, aux trousse, une bande de tueurs à gage.
Bon, je vais me présenter ; je suis Lucas, 13 ans, 4ème D. Blond bouclé, de taille moyenne, et une voie qui mue atrocement.

Je vais vous racontez ce que je sais, c'est à dire, pas grand chose : Ce matin, 8 heure, je vais au collège. Je cours, car je suis en retard, comme toujours. Mais je prend un raccourci. Et sur le chemin, j'ai vu un petit magasin de bonbons, qui avait l'air sympa. Je n'avais rien mangé ce matin, et je mourrais littéralement de faim. Je me suis donc arrêté prendre un petit sac de dragibus (facile à dissimuler dans une trousse). Mais, à ce même moment, j'ai vu une porte en bois, l'air très ancienne. Je suis curieux,c'est un de mes nombreux défauts ...
C'est simple, j'ai juste entendu une phrase : Faut pas se faire choper.
Et sur ce, ils sont sortis de la mystérieuse pièce. Encore agenouillé par terre, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer. Malheureusement, il m'ont vu, et ... j'ai pris mes jambes à mon coups. Ils m'ont aussitôt courut après, et bah, maintenant, je suis toujours en train de courir, et eux aussi.

Je tourne pour prendre un petit chemin assombrit par les grandes maisons qui bordent la route. Une petite échoppe était en plein sur le chemin, renversait et sans trace de vie. Je saute par dessus et continue dans mon élan, commençant à être épuisé. Je me dis que c'est la fin, qu'ils sont beaucoup plus endurants que moi, que je vais mourir, oui, car ils sont armés, simple petit détail, sans même pouvoir faire quelque chose.
Pour le comble de mon désespoir, une rackaille (je sais pas comment ça s'écrite ><") qui était dans le même collège que moi apparut devant moi, sortant de son immeuble de banlieue (oui, car nous sommes dans les banlieues parisienne). Celui-ci me regarda, me reconnu et souris. Il avança d'une démarche cool, la démarche qui veut dire : je suis un gentil, ne vous inquiétez pas. Mais au dernier moment, il sortit une règle en fer de sa poche, son instrument de torture habituel, et me la mit sous le cou d'un air menaçant. Il me dit d'une voie grave :

" Raboule le fric, petit "

Je pense que si je ne faisait pas du judo, je ne m'en serais pas sortit. Je lui donne un grand coups de pied dans le ventre et me dégage. La rackaille, agenouillée par terre, le souffle coupé, mit plusieurs secondes pour se rétablir. Mais pendant ce temps, les tueurs arrive déjà. Ils sortent déjà leurs flingues et les pointent dans ma direction.
Je suis cerné.
Je me trouve entre des killers en série et une rackaille qui veut ma peau. Et je n'est pas de plan.
Je ne sais pas comment je peux m'en sortir. Autour de moi, il n'y a rien d'autre que des vieux immeubles, des magasins vides et saccagés et une bouche d'égout. Une bouche d'égout !!! Mais bien sur !
Je pique un magnifique sprint, digne de mon prof d'EPS, vers le petit trou et saute dedans, laissant les ténèbres m'avaler.

Désolée du retard ><

Maintenant, tu me fais une analyse comme toujours ♪

Alors, ben, déjà, j'aime bien. A ce moment, j'avais pas encore lut CHERUB, mais je trouve que ça ressemble un peu. Mais c'est une simple coïncidence ^^
Et elle est plutôt prenante, je trouve.
J'aime bien mes textes quand ils sont écrit au présent, je trouve que ça rend l'histoire plus vivante.
Mais après, je trouve qu'il manque de nombreux détails. Et le faites de faire des phrase courtes me déstabilise un peu, je trouve les style ... bizarre, trop accéléré :/
Sinon, dans le dernière paragraphe, je trouve qu'il y a trop de répétition de "je"

Je connais pas Cherub o/ Donc j'peux pas trop juger.

Au niveau de l'histoire, tu as raison, elle est très prenante. On a envie de savoir ce qu'il va arriver à ce Lucas. Le fait d'écrire au présent la rend plus vivante, en effet, ça donne l'impression qu'elle se déroule immédiatement, sous nos yeux.
Après, c'est vrai que tu ne t'attardes pas trop sur les détails mais c'est tout de même compréhensible. Le passage est un passage d'action, ton perso cours pour survivre, il ne va pas s'arrêter pour détailler les grains de poussière collés au mur quoi. *oui je sors*
Faire des phrases courtes accentuent l'impression de vitesse d'une certaine manière. Ça tient le lecteur en haleine. Cette succession de phrases courtes laisse le mystère, surtout au moment où tu l'utilises. On a l'impression qu'il est foutu et puis, hop, il trouve le moyen de s'échapper.

Niveau des fautes, t'as du mal au niveau des participes passés.

Ils m'ont aussitôt courut après

Le p.passé de courir c'est couru. T'aimes bien mettre des 't' aux p.passé x)
Le conseil que je peux te donner quant à ça c'est d'écrire ton texte sur Word. Ça élimine pas mal de fautes

Et sur cette phrase :

Une petite échoppe était en plein sur le chemin, renversait et sans trace de vie.

C'est l'échoppe qui est renversée.


A présent, il y a quelque chose de particulier que tu aimerais faire ?

Ok, merci pour le conseil avec word ^^
Ey sinon toujours rien en particulier ^^"

Hum alors un autre exercice !

Je te laisse champ libre mais je veux que ton texte soit écrit au présent et que le perso principal soit une fille répondant au nom de Joyce.