Petite distraction (PV Tous les membres du clan)

Destin sanglant était perché sur le promontoire du clan de L'apocalypse. Le froid de la saison froide tapait le pelage blanc du chef avec force. Il ne bronchait pas, habitué à la douleur, à la fraicheur du vent qui gelait ses membres. A force de se battre et de connaître la douleur d'une morsure, d'une patte qui se déboite, d'un coup de griffe en pleine tête et le goût du sang chaud qui enveloppe votre gorge, la fraicheur de la saison froide n'est une caresse sur le pelage. Il s'ennuyait à mourir. Le clan était calme et ses plans était en marche, mais pour l'instant il devait être patient. Il jeta un regard circulaire sur ses petits pions. Son second était encore partit. Bon sang, qu'il pouvait être énervant avec ça. De toute façon, Destin Sanglant avait envoyé un guerrier l'espionné pour vérifier qu'il ne commettait pas d'erreur. Les autres tueurs étaient partis à la chasse, pour que le clan ait un minimum de gibier pour se nourrir. Bien que la règle ultime soit celle du plus fort, il fallait quand même que les meilleurs se nourrissent, dont Destin sanglant et son second. Les apprentis étaient partis testé leur technique de meurtre avec leur mentor sur le territoire du Clan de la Rivière. Enfin, il restait les reines avec leurs chatons. Les petits étaient restés dans la grotte servant de pouponnière sauf que celle-ci n'est pas chauffé pour que les félins s'habitue au climat instable. La plupart mourraient de froid donc ils étaient trop faibles pour rester dans le clan de la mort. C'était la loi de la jungle.


Destin sanglant se releva et bondit de son rocher pour se diriger vers la grotte des faibles matous. Il entra dignement et jeta un regard vers les reines. L'une d'elle avait deux de ses chatons qui avaient survécu à la première étape de croissance. Ils étaient capables à présent de résister un minimum au froid. Destin Sanglant se rapprocha à pas feutré de la reine et lui demanda clairement :


Elle baissa la tête en signe de respects et de soumission absolue. C'est ça être le meneur terrifiant. Destin Sanglant hocha la tête et jeta un regard mauvais au rejetons de la reine. C'était le moment pour eux de passer apprenti tueur. Et Pour ça, il allait devoir organiser une petite fête. Il se retourna vivement et se dirigea d'un pas rapide vers la sortit. Il allait pouvoir s'amuser un peu, finalement...

Le soleil commençait à se coucher. Tous les membres du Clan des Meurtrier étaient plus ou moins rentrés après leurs occupations. C'était le moment. Destin Sanglant sauta agilement sur son rocher plein de neige et poussa un feulement puissant et hargneux. Ses guerriers se regroupèrent autour de lui et le regardaient. Destin Sanglant laissa apparaître un sourire vicieux et il annonça d'une voix excité :


Des cris pleins d'entrains raisonnèrent à travers le camp. La foule qui s'était rassemblée semblaient raffolé de ce genre d'événement. Destin sanglant tapa d'un coup sec sa queue sur la pierre et tous les félins se turent. Le Chef aux yeux sanglant fixa les deux chatons avec un regard mauvais, très mauvais.


Destin sanglant bondit et avança vers une zone non loin du camp. Cette zone aussi appelé Arène, est le seul lieu ou se déroule les passages de chaton à apprenti. Les félins s'assirent en cercle autour de la zone de combat. Destin sanglant bondit sur un autre rocher en hauteur, sa place réservée. Il s'assit et une fois tous les félins à leur place, il se tourna vers Petit Cyclone et son frère.



La foule de guerrier hurlèrent comme pour appuyer les paroles de leur chef. Destin sanglant les fit taire et fit un signe de queue aux deux chatons de s'avancer au centre de l'arène. Puis il déclara d'un voix bien détaché et d'excitation face au future spectacle qui devait le distraire :

La mère des deux chatons poussa un feulement lançant le combat pour décider qui était digne de devenir un apprenti-tueur du Clan de l'Apocalypse

Petit Cyclone dormait dans la pouponnière. En ce moment, il devenait de plus en plus méchant, et plus les jours passaient, plus il sentait qu'il allait passer à un autre stade de sa vie. Il se réveilla en entendant des pas dans la grotte humide. C'était le chef, Destin Sanglant. Un grand chat blanc aux yeux rouges. Le chaton se leva. Il entendit leur conversation et frissona:

- Quelles âges ont tes chatons ?

La chatte s'empressa de répondre en baissant la tête.

- Ils ont 6 lunes à présent, chef


Le chaton fixa son chef et sa mère, une seule pensée en tête: "Bientôt, je deviandrais chef et serait comme toi. " Puis Destin Sanglant lui jeta un regard mauvais et le chaton soutint son regard rouge. Ses yeux bleus n'exprimaient que de l'insolence.

Quand le soleil se coucha, Destin Sanglant appella le Clan à se rassembler. Puis il continua:

- Aujourd'hui est un jour particulier pour deux de nos chatons, C'est aujourd'hui que l'un deux va pouvoir passer apprenti-tueur.

Les autres chats semblèrent excités. Puis son chef s'exclama:

- Tous à l'Arène !!!

Ils allèrent à une zone plane à côté du Clan.

- Petit Cyclone, ¨Petit..., comme le veut ma tradition, vous allez devoir vous affronter en combat à mort dans cette arène et le gagnant aura le privilège de passer Apprenti. Tous les coups sont permis, montrez-nous un vrai spectacle, une vraie barbarie !! nous dit notre chef.

Mais le chaton roux ne l'écoutait point. Un sourire machiavélique s'était dessiné sur ses lèvres. Là, des bains de sangs couleraient sur le sol.

Je regarda mon adversaire. Mon frère était lourd, fort. Il répondait aux provocations et s'énervait facilement. Mes yeux perçants fixèrent le vide un instant et je fis d'un ton orgueilleux:

-Es-tu sur de vouiloir combattre, Petit ...?

Le chaton s'énerva et me chargea en feulant. Vite fait, bien fait. Je passa derrière lui. Je lui passa une patte sur le dos et le pencha puis je lui prit la patte avec les dents. Et je tira et il hurla. Je souffla entre mes crocs:

-Abandonne!

Mais il continua à hurler. Alors, je tira plus fort et un craquement se produisit. Je le maintient à terre et le retourn sur le ventre; Puis je l'éventra du cou jusqu'à la queue. C'en était fini de lui. Puis je retourna vers mon chef et lui demada d'un ton hautain:

-Alors? Est-ce suffisant?